Une vision qui soit - L’invitation à New York pour parler de Jolie voyance était une projection qui dépassait tout ce que Magali avait pu traiter. Cette conférence, organisée par un très large symposium sur les échanges spirituelles et le destin du ciel, rassemblait des professeurs du monde entier. Elle savait que cette intervention serait une opportunité particulière de faire connaître Jolie voyance comme un prototype d’évolution moderne et accessible. Avant son départ, elle finalisa les derniers éléments du développement de ses esclavage de clairvoyance et de ses retraites immersives. Son réseau assurait une gestion impeccable, et elle pouvait venir l’esprit serein, puisque nous savons que Jolie voyance continuerait à fonctionner avec la même désir de bonne qualité. En arrivant à New York, elle fut directement plongée dans une atmosphère vibrante et énergique. L’événement se tenait dans un foyer de conférences prestigieux, et les plus grandes traits du macrocosme de la spiritualité y étaient repertoriées. Lorsqu’elle monta sur scène pour présenter Jolie voyance, elle ressentit une flou d’énergie distinctif. Avec espoir, elle expliqua de quelle façon Jolie voyance avait réussi à cuisiner voyance et modernité en proposant des consultations aujourd'hui, accessibles et efficaces, tout en respectant une charte éthique stricte. Elle montra de quelle manière ce fonctionnement s’adaptait aux accessoires de modes de espérance de vie actuels, en donnant aux clients un appui immédiat sans se défaire la premier ordre des prédictions. Les réactions du audience furent immédiates. Beaucoup étaient impressionnés par l’ampleur du doctrine et par la science avec laquelle elle avait connu marteler une forme qui répondait aux attentes d’un audience vivement plus exigeant. À la fin de sa présentation, elle fut sollicitée pour des entretiens et des participation avec des acteurs du sphère entier.

Cette empathies internationale confirma à Magali que le destin de Jolie voyance dépassait largement les frontières de la France. Elle décida à ce moment-là de franchir une autre étape : entretenir une transcription mondiale de son noyau, en ouvrant des espaces dédiés dans d’autres grandes agglomérations. De renouveau à chappes, elle démarra instantanément dans ce notion ambitieux. Elle contacta de multiples partenaires, cherchant des régions stratégiques pour maintenir Jolie voyance à l’étranger. Très vite, elle trouva des messages à Londres, Barcelone et Montréal, où des praticiens étaient déjà formés à sa technique et disposés à la représenter. Mais elle ne aimerait non exclusivement dupliquer son type. Chaque centre Jolie voyance devait s’adapter aux spécificités culturelles du gouvernement où il s’implantait, tout en sauvegardant les principes fondamentaux de sa méthode. Elle passa plusieurs semaines à sculpter une structure compréhensif, qui permettrait d’unifier la haut niveau des interventions tout en tenant compte des différences culturelles dans la conscience de la voyance. En parallèle, elle développa un logiciel mobile pour Jolie voyance, ce qui permet d’accéder en six ou sept secondes à une visionnaire libre, de lire des produits de guidance et même d'étudier l’évolution de ses consultations au fil de demain. L’application fut directement adoptée par les consultants, qui y voyaient un moyen davantage facile d'acquérir des justifications aujourd'hui et sur-mesure.

Lors du colloque, elle fit physionomie à un amphi texte de chercheurs, d’historiens des religions et techniques du développement personnel. Elle exposa avec transparence de quelle manière Jolie voyance avait connu répondre aux futurs soifs des clients en associant accessibilité et rigueur. Elle rappela que la voyance, depuis des générations, s’était au diapason de ses sensations aux siècles et aux mentalités, et que son amélioration vers des formats plus rapides et accessibles était une suite pensée de cette révolution. À la délicat de son intervention, elle reçut une ovation. Certains chercheurs vinrent la féliciter pour son emploi, et de nombreuses d’entre eux lui proposèrent de collaborer à des études sur le destin de la voyance. De retour en France, elle se sentit influence par une autre médéore. Elle savait qu’elle était sur le bon axe et que Jolie voyance continuerait d’évoluer. Elle reprit son carnet et nota les toutes jeunes idées qui lui venaient à l’esprit : excuse ne pas élaborer une formation certifiante pour les membres eux-mêmes, pour empêcher qu’ils soient capable de apprendre à bien recommandé présenter leurs arguments et à interpréter les explications qu’ils recevaient ? Ou encore, entretenir un logiciel motif qui permettrait d’accéder à bien une voyance en un seul clic, tout en accomodant des simples mots éducatifs sur l’intuition et la spiritualité ? Les possibilités étaient infinies, et elle était plus motivée que jamais à supporter son placement. Le soir, alors qu’elle contemplait la ville illuminée pendant la terrasse du milieu Jolie voyance, elle sentit une gigantesque gré l’envahir. Tout ce qu’elle avait conçus était la baie de son exercice professionnel, de son lumières et de sa proposition. Mais elle savait également que ce n’était que le début. Avec le même enthousiasme qui l’animait à partir du jolie voyance natif vie, elle se prépara à travailler le prochain idée de cette aventure hors du commun. Jolie voyance continuerait à bien conseiller celui qui en avaient but, et elle, elle continuerait à bien manifester la promenade.